De l’importance de raconter des miracles
De nombreuses histoires furent relatées au sujet des miracles accomplis par le Tsaddik et saint kabbaliste Rav ‘Haïm Pinto zatsal. Certaines d'entre elles figurent dans le célèbre ouvrage "Cheva’h 'Haïm”, rédigé en arabe par le Rav Makhlouf Mazal Terim zatsal et ont été récemment traduites en hébreu par le Rav David Hacohen Chlita, disciple de notre maître Chlita. La plupart des histoires rapportées ici sont tirées de ce recueil et concernent le Rav ‘Haïm Pinto “le Grand” zatsal. Nous rapporterons pour commencer les propos tenus par le Rav Ma’hlouf Mazal Terim zatsal dans sa préface :
« Chacun se doit de toujours se tenir devant D.ieu et de relater Ses miracles au plus grand nombre car ces témoignages montent au Ciel et tous les êtres célestes se rassemblent et chantent des louanges à D.ieu. La présence divine réside alors dans les Cieux et sur la Terre. »
« C'est la raison pour laquelle nos Sages nous ont donné l’obligation de raconter les miracles, afin que chacun prenne conscience de la force et de la toute-puissance d’Hachem et Le craignent. Nos Sages disent : “Quiconque rapporte les exploits des Tsaddikim, c’est comme s’il étudiait le passage de la Torah évoquant le char céleste. C’est pourquoi chaque membre du peuple juif, s’efforcera de rassembler les membres de sa famille afin de leur faire le récit de miracles et les sensibiliser à la puissance du Créateur. Ils se réjouiront de tout le bien qu’Hachem a fait depuis la création du monde jusqu’à aujourd’hui.” »
« L’homme accomplira également chaque Mitsva avec crainte en gardant à l’esprit qu’il se tient devant Hachem, comme le dit Rabbi Chimon Bar Yohaï : “ Une mitsva réalisée sans crainte divine est imparfaite.” De même, avant de prier ou d’étudier la Torah, l’homme devra s’efforcer de penser qu’il se tient devant Hachem afin d’accomplir cette Mitsva avec amour, autrement elle serait considérée comme incomplète.
« Celui qui sert Hachem sans avoir connaissance de toutes les Kavanot (pensées) appropriées mentionnées dans la Kabala, fera au moins l’effort de songer à la grandeur du Créateur afin de Le servir avec joie et crainte [...] »
En arabe
Le Rav Makhlouf Mazal Terim zatsal explique au début de son livre "Cheva’h ‘Haïm" la raison pour laquelle il l’a rédigé en arabe :
« [...] De nombreux écrits du Rav ‘Haim Pinto zatsal ont été perdus dans la guerre d'Espagne qui a sévi dans la ville d'Essaouira. C’est pourquoi j’ai décidé de mettre par écrit certains évènements ayant eu lieu à l'époque du Tsaddik. J’ai rédigé ces témoignages en arabe afin qu’ils soient accessibles au plus grand nombre et que tous puissent prendre connaissance des miracles qui eurent lieu du vivant du Tsaddik et se repentir. »
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Notre maître Rabbi David 'Hanania Pinto Chlita est issu d'une famille d'éminents et saints Rabbanim, se succédant de génération en génération, depuis près de 400 ans. A l'origine de cette illustre famille, se trouve le Gaon et Tsaddik Rabbi Yochiahou Pinto Zetsoukal, qui était parent par alliance du vénéré Rav Haïm Vital zatsal, le plus fervent disciple du Arizal.
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