L’appel qui aboutit à temps 

La providence divine

L’appel qui aboutit à temps 

Le vendredi, il règne toujours une activité particulièrement fébrile dans les bureaux de la Yéchiva. C’est habituellement le jour où l’on reçoit le plus d’appels téléphoniques de personnes désireuses de recevoir une brakha, un conseil ou des encouragements avant Chabbat. Or, ce laps de temps est très court, puisqu’à midi, je quitte les bureaux de la Yéchiva pour prendre part aux préparatifs du saint jour.

En effet, comme on peut le voir dans la Guémara, les Tannaïm eux-mêmes n’hésitaient pas à « retrousser leurs manches » pour préparer Chabbat, et comme ils le disent si bien, « celui qui fournit des efforts, la veille de Chabbat, mangera le Chabbat » (Avoda Zara 3a). C’est en outre une tradition familiale que m’a transmise mon père, de mémoire bénie, qui aidait toujours notre mère, qu’elle ait longue vie, dans ses préparatifs. 

Nous disposons à la Yéchiva d’un central téléphonique, placé sous la responsabilité d’un standardiste chargé, selon le besoin, de transmettre les appels au bon destinataire : au président de la communauté, à moi ou au secrétariat – selon le cas.

Un vendredi, j’avais quitté mon propre bureau et, au moment précis où je passai à côté de l’un des bureaux, le téléphone se mit à sonner avec insistance. Cela m’étonna : j’ignorais qu’il y avait un téléphone dans ce bureau. Instinctivement, je décrochai.

Aussitôt, j’entendis une voix de femme s’écrier, soulagée : « Oh ! Quelle chance que j’aie enfin réussi à vous avoir ! Je suis en proie à un tel problème que parfois, je n’entrevois pas d’autre solution que de mettre fin à mes jours. Ce n’est pas la première fois que j’essaye de vous joindre pour vous demander conseil, mais jusqu’à présent, ça ne répondait jamais. À la fin, je me suis dit que c’était ma dernière tentative. Soit j’arrivais à vous avoir, soit je mettais fin à mes jours… » Cette entrée en la matière me mit en alerte et j’entrepris aussitôt de la réconforter et, pour la faire renoncer à son projet macabre, lui expliquai la gravité d’un tel geste.

Après qu’elle m’eut détaillé ses soucis, je lui donnai des conseils ainsi que ma brakha. Mon interlocutrice, qui se sentait déjà bien mieux, me remercia et raccrocha. 

Après cela, je restai quelques instants immobile, encore sous le choc. Il s’en était fallu de peu… Je décidai alors de mener mon enquête, pour comprendre pourquoi cet appel avait abouti dans ce bureau. Il s’avéra que c’était le téléphone personnel de la secrétaire et que cet appareil n’était pas lié au standard. Personne n’était même censé en connaître le numéro, et c’est pourquoi le fait que cet appel y ait abouti restait un mystère total.

En outre, comment cela se faisait-il qu’il ait sonné pile au moment où je passai dans le couloir à côté de cette porte ? L’enchaînement des faits prouvait sans l’ombre d’un doute que c’était le Créateur Qui tirait les fils et m’avait permis de me trouver là au bon moment pour raisonner cette femme et l’empêcher de commettre l’irréparable.  

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