Une femme nonreligieuse me raconta qu’elle avait fait un mauvais rêve, dans lequel on l’avertissait qu’il lui fallait faire très attention à la tsniout.
Je l’encourageai très vivement en ce sens, en lui citant des paroles de morale et des enseignements de nos Sages, louant la vertu de la tsniout qui sied aux femmes juives, vertu que je l’incitai à adopter dans sa tenue vestimentaire comme dans son comportement.
Il lui fut au départ difficile d’accepter de s’y soumettre, car cela l’obligeait à changer de mode de vie et d’habitudes ancrées depuis longtemps. En outre, elle avait très honte de ses proches et connaissances, qui allaient certainement se moquer de ce changement radical.
Cependant, à force d’arguments, mes paroles finirent par pénétrer son cœur et elle accepta de se soumettre à la vérité de la Torah. À l’heure actuelle, elle observe scrupuleusement toutes les mitsvot, petites et grandes, la tête haute et sans aucune honte.
Cela nous démontre le pouvoir du bon penchant, capable de faire plier le mauvais penchant, même lorsque cela exige de l’homme des forces phénoménales et des luttes internes et externes particulièrement rudes.