Celui qui vient se purifier est aidé d’en Haut 

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Au cours d’une hospitalisation, je me trouvais malheureusement dans l’incapacité d’effectuer seul certains gestes, si bien que j’avais tout le temps à mes côtés un membre de ma famille, un élève ou mon dévoué secrétaire, afin de m’aider dans l’accomplissement de ces tâches. 

Cependant, il arriva un jour que je me retrouve seul quelques minutes, du fait que mon secrétaire était en train de prier dans la pièce voisine. C’est à ce moment que les infirmières vinrent me voir pour me dispenser certains soins. 

Je m’opposai bien sûr à être touché par des femmes, ce que j’expliquai aux infirmières, tout en insistant sur le fait que, dans quelques instants, mon secrétaire allait revenir. En vain : elles insistaient pour que je les laisse « faire leur travail ». Je leur demandai alors de téléphoner à mon épouse, pour lui dire de m’envoyer d’urgence des ba’hourim de la Yéchiva. 

Mais l’infirmière refusa obstinément d’appeler ma femme, et c’est pourquoi je la priai tout au moins de bien vouloir appeler un infirmier pour que ce soit lui qui se charge des soins nécessaires à leur place. Mais j’essuyai une fois de plus un refus obstiné, du fait qu’on était dimanche et que le personnel était donc en effectif restreint. 

En constatant que mes cris de protestation étaient sans effet et que j’avais affaire à forte partie, je dis en aparté à l’une des infirmières : « Je voudrais vous parler. » 

J’ignore ce qu’elle pensa en entendant ma demande pour le moins étrange, mais toujours est-il que j’avais en tête des paroles de Torah sur la prophétesse Myriam, sœur de Moché et d’Aharon, la section hebdomadaire étant alors celle de Béhaalotékha. J’eus alors l’idée de leur raconter des récits de la Torah, afin de leur faire penser que je n’étais pas sain d’esprit et de les faire fuir. 

C’est ainsi que je mis à raconter à l’infirmière médusée l’histoire de la prophétesse Myriam qui, pour avoir seulement émis une légère critique à l’encontre de son frère, fut punie par la lèpre. Qui sait quelle aurait été sa punition si elle avait prononcé une véritable médisance ? 

« Comment savez-vous que je m’appelle Myriam ? » me demanda l’infirmière, soudain livide. 

Je l’ignorais en fait, mais dès qu’elle m’apprit que c’était son prénom, je compris pourquoi mon histoire l’avait tellement effrayée, car elle s’était aussitôt sentie concernée. 

Je sentis que c’était la Main divine qui m’avait poussé à m’adresser précisément à cette infirmière et à évoquer l’histoire de Myriam. Profitant de son choc et de sa peur, j’ajoutai : « Sachez que si vous me touchez, il vous arrivera ce qui est arrivé à Myriam, frappée de la lèpre ! » 

L’infirmière parut encore plus choquée et, appelant sa collègue, lui suggéra de la suivre en dehors de ma chambre. Quelques instants plus tard, un infirmier fit son apparition, et ce fut lui qui s’occupa de me délivrer les soins nécessaires, comme l’exigent les règles de tsniout. À compter de ce jour, les infirmières de l’hôpital ne cherchèrent plus à m’imposer leur point-de-vue et respectèrent le mien. 

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