La Torah, élixir de vie 

Judaïsme

La Torah, élixir de vie 

Un couple d’Américains non-juifs avait découvert, pour leur plus grande déconvenue, que le mari était atteint d’une tumeur au cerveau. Son état avait tellement empiré qu’il avait perdu la vue. En désespoir de cause, ils tentèrent tous les traitements possibles, consultèrent les plus grands spécialistes afin de trouver un remède à ce mal. Ils avaient dépensé sans compter, mais même les meilleurs médecins avaient échoué. 

Lors d’une dernière tentative, l’un d’entre eux, ayant baissé les bras lui aussi, leur conseilla de me rencontrer. Le mari se hâta de téléphoner à mon secrétaire pour prendre rendez-vous, mais celui-ci lui expliqua qu’il ne pourrait me rencontrer que trois mois plus tard. Certain qu’on l’avait adressé à un professeur de très grande envergure, l’homme insista pour que je le reçoive plus tôt, proposant même pour cela une somme d’argent considérable. Mais mon secrétaire resta inébranlable, il ne pourrait pas avoir de rendez-vous avant. Il dut donc se résigner à attendre trois mois. 

Le jour de notre rencontre arriva. Mais quelle ne fut pas la surprise de ces gens lorsqu’arrivés au lieu de la rencontre, ils réalisèrent qu’il ne s’agissait nullement d’un centre médical. Ils décidèrent cependant d’attendre patiemment leur tour. Après tout, ils avaient patienté des mois pour être enfin reçus. 

En entrant dans mon bureau, ils m’interrogèrent : « Toutes les personnes qui patientent au-dehors sont-elles malades ? 

– Non, que D.ieu préserve. 

– Dans ce cas, reprirent-ils après avoir échangé un regard, il semblerait qu’il y ait eu une regrettable erreur. Nous avions fixé rendez-vous avec un grand médecin pour soigner mon mari, gravement atteint, s’excusa la femme. Nous nous sommes apparemment trompés d’adresse. » 

Ils téléphonèrent aussitôt au médecin qui les avait envoyés et je suivis leur conversation à distance : 

« Où nous avez-vous envoyés ? Il n’y a pas de médecin ici ! Nous avons attendu trois mois pour rien ! 

– C’est juste, je ne vous ai pas envoyés chez un docteur, mais chez un Rav afin que vous lui demandiez une bénédiction par le mérite de ses ancêtres. » 

Du fait qu’ils avaient attendu trois mois pour avoir un rendez-vous et qu’ils avaient fait l’effort de venir, ils décidèrent de quand même tenter leur chance. Qui sait, se disaient-ils, peut-être ce rabbin pourrait-il les aider ? Ils me demandèrent donc une bénédiction. 

Je ne savais que leur répondre et finalement, comme j’ai l’habitude de faire dans ce type de cas, j’essayai de renforcer leur foi en D.ieu. 

Je leur expliquai qu’ils devaient croire en D.ieu, Qui est le Créateur de l’univers et dirige l’ensemble de la Création jusqu’à ce jour. C’est Lui Qui avait décrété que cet homme tombe malade, et de même qu’Il l’avait frappé de cette dure maladie, il était en Son pouvoir de la guérir facilement et rapidement. Il n’attendait qu’une chose de leur part : qu’ils accomplissent les sept mitsvot qui leur incombaient en tant que non-juifs. 

Je leur conseillai en outre la lecture d’un livre en anglais sur la émouna. Ils me quittèrent stupéfaits par le remède étrange que je leur avais suggéré. Néanmoins, du fait que la médecine traditionnelle ne leur laissait aucun espoir, ils commencèrent à s’intéresser à l’existence du Créateur, étudièrent les sept mitsvot données aux descendants de Noa’h, auxquelles ils étaient soumis à ce titre. Plus, ils cherchèrent à en savoir davantage sur le Judaïsme en général, et notamment sur la Torah, donnée au peuple juif sur le mont Sinaï, et sur les 613 mitsvot qu’elle comporte et que le peuple élu se doit d’accomplir. 

Au bout de toutes ces recherches, ils arrivèrent à la conclusion que, s’ils étaient soumis à 7 mitsvot, les Juifs en avaient 613. « Pourquoi notre part serait-elle tellement réduite ? » se demandèrent-ils. Pourquoi n’aurions-nous pas le mérite d’accomplir aussi les six cent treize mitsvot de la Torah ? Pourquoi serions-nous différents et inférieurs aux membres du peuple juif ? Il est certainement préférable d’adopter l’ensemble de la Torah et de ses mitsvot ! 

De fil en aiguille, ils approfondirent les enseignements de la Torah et étudièrent en détail les six cent treize mitsvot. Or, de façon prodigieuse, à mesure que leur recherche spirituelle avançait, la tumeur disparaissait du cerveau du mari jusqu’à ce qu’il guérît complètement ! 

Trois années passèrent, et un beau jour, ce couple retourna me voir. Ils me rappelèrent leur histoire et me racontèr ent le grand miracle dont le mari avait bénéficié : sa tumeur avait purement et simplement disparu ! Ils me réjouirent également en m’annonçant la nouvelle de leur conversion imminente. Après un processus de plusieurs années, ils allaient prochainement joindre leur destinée à celle du peuple juif et prendre sur eux le joug de la Torah et des mitsvot 

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